Entre idées reçues et stigmatisation, le SIDA reste un syndrome que peu de personnes connaissent vraiment. De la transmission au traitement du syndrome, les préjugés fusent et restent parfois compliqués à déconstruire. Nicolas @supersero sur les réseaux sociaux, utilise sa voix pour déstigmatiser le VIH et livrer “un regard moderne et progressiste sur la séropositivité”.
Nicolas @Supersero souligne d’abord la nécessité de prendre du recul par rapport aux actions de sensibilisation traditionnelles contre le sida. Il reconnaît à la fois leur importance dans la recherche et leurs limites. Il explique sa démarche différente sur les réseaux sociaux, soulignant qu’il ne représente pas une association et qu’il laisse sa communauté décider de la direction à prendre.
Nicolas préfère utiliser le terme « personne vivant avec le VIH » plutôt que « séropositif ». Cela reflète mieux la réalité de la situation, expliquant la différence entre le VIH et le sida. Il clarifie que le sida est la phase avancée de l’infection par le VIH, caractérisée par une immunodéficience et des maladies opportunistes. La discrimination et la stigmatisation peuvent être aussi dangereuses que la maladie elle-même.
La pression sociale autour du VIH/Sida racontée par Nicolas @Supersero
Nicolas aborde également les défis liés au dépistage et à la communication autour du VIH, mettant en lumière les pressions sociales et les dilemmes personnels auxquels sont confrontées les personnes vivant avec le VIH. Il tend à souligner l’importance de la liberté de choix et de la normalisation de l’information sur le VIH.
Enfin, il évoque les défis auxquels il est confronté en tant que personne séropositive visible sur les réseaux sociaux, notamment les menaces de mort, les insultes et la désinformation propagée par certains groupes. Il appelle à une approche plus inclusive et informée de la prévention du VIH.
Son but : donner la parole aux personnes concernées pour lutter contre la stigmatisation liées au VIH/sida.